Jetés à la rue par leur famille, abandonnés par leurs parents au nom de prétendus pouvoirs maléfiques, ils sont affamés, maltraités, exploités sexuellement et parfois même torturés. Aujourd’hui, ils sont des dizaines de milliers à être livrés à eux-mêmes : on les appelle les “skolombo“.
Pour évoquer le monde angoissant et mystérieux des croyances en la sorcellerie dans le pays, la musique repose principalement sur des nappes sonores angoissantes.
Un film de Maxime Priou & Arthur Rayssiguier & Marin Guillochon
Production : Barbara Conforti
Diffusion : Arte Reportage
Musique de Nicolas Cornil
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